Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Document d'information
Exercice
Exercice
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Exercice
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Exercice
Document d'information
Exercice
Exercice
Document d'information
Document d'information
Exercice
Exercice
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Exercice
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Exercice
Document d'information
Document d'information
Exercice
Document d'information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Exercice
Exercice
Document d'information
Document d'information
Exercice
Exercice
Exercice
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Exercice
Exercice
Document d'information
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Relaxation
Le stress et la détresse sont associés à une excitation physiologique et à l'activation du système nerveux sympathique. Il s'agit de la branche "combat ou fuite" du système nerveux, dont le fonctionnement est conçu pour inciter l'individu à se préparer à fuir ou à agir. Dans certaines conditions cliniques, l'excitation physiologique normale entraîne une détresse parce qu'elle est mal évaluée.
Par exemple, chez les patients qui paniquent, les sensations corporelles normales sont mal évaluées, ce qui indique que la catastrophe est imminente. Chez les patients qui ont du mal à réguler leurs affects, l'excitation physique peut être vécue comme particulièrement aversive et associée à la conviction que sa poursuite est intolérable.
De nombreuses personnes trouvent que l'entraînement à la relaxation est une intervention clinique utile. La relaxation par la réadaptation respiratoire ou la relaxation musculaire progressive active le système nerveux parasympathique, parfois appelé système de "repos et de digestion". Dans le cadre de la thérapie axée sur la compassion (TAC), il est proposé, à juste titre, que "l'esprit se trouve dans le corps", ce qui donne une justification cohérente à l'utilisation de techniques apaisantes pour aider les patients à accéder à différentes mentalités sociales ("mindsets").
Références