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Estime de soi et autocritique
L'estime de soi est le degré auquel nous nous évaluons positivement. Elle fait référence à l'appréciation globale qu'une personne a de sa valeur en fonction des notes qu'elle se donne dans différents rôles et domaines de la vie (Harter, 1999 ; Markus & Nurius, 1986 ; Rogers, 1981). Une faible estime de soi n'apparaît pas comme une catégorie diagnostique distincte dans le DSM-5 ou la CIM-10, bien qu'elle soit associée à un large éventail de troubles de l'humeur et d'anxiété, notamment la dépression et l'anxiété sociale. Il existe deux modèles cognitivo-comportementaux de l'estime de soi qui, selon les cliniciens, permettent des interventions thérapeutiques utiles.
Qu'est-ce qu'une faible estime de soi ?
Signes et symptômes d'une faible estime de soi
Une faible estime de soi peut être associée aux comportements ou aux expériences suivants :
Modèles psychologiques et théorie de la mauvaise estime de soi
Melanie Fennell a publié en 1997 un protocole cognitivo-comportemental pour la faible estime de soi. Le modèle est fondé sur le modèle cognitif des troubles émotionnels d'Aaron Beck. Il part du principe que, sur la base de ce qu'ils ont vécu, les gens forment des croyances ou des hypothèses sur eux-mêmes, les autres et le monde. Lorsqu'elles sont activées, ces croyances et hypothèses donnent lieu à des pensées automatiques négatives qui, à leur tour, entraînent un affect et un comportement négatifs. Fennell décrit un cercle vicieux auto-entretenu dans lequel les pensées négatives entraînent des affects douloureux et des comportements autodestructeurs tels que l'évitement ou le retrait, qui agissent pour maintenir et renforcer les pensées et les croyances sous-jacentes.
Kees Korrelboom a développé un protocole pour augmenter l'estime de soi par le biais d'un programme d'entraînement compétitif de la mémoire (COMET : Korrelboom, van der Weele, Gjaltema, & Hoogstraten ; 2009 ; Korrelboom, de Jong, Huijbrechts, & Daansen, 2009 ; Korrelboom, Maarsingh, & Huijbrechts, 2012). Le protocole COMET est destiné aux personnes qui savent que leur auto-jugement négatif est trop sévère mais qui continuent néanmoins à se percevoir négativement. Le modèle s'inspire de la théorie de Brewin sur la concurrence de récupération de la mémoire (Brewin, 2006, 2015), selon laquelle les informations à récupérer sont en " concurrence " pour attirer l'attention. Une version négative moins précise du soi (par exemple, "je suis pathétique") peut "gagner" une compétition contre une vision alternative ("je suis gentil et compétent") par la nature du renforcement/de la pratique. COMET vise à aider les visions exactes du soi à "gagner" la compétition en construisant et en répétant systématiquement une vision exacte du soi.
Approches psychologiques empiriques pour le traitement du manque d'estime de soi
Les interventions cognitivo-comportementales pour une faible estime de soi ont été testées dans un certain nombre de petits essais et indiquent des résultats généralement favorables (Hall & Tarrier, 2003 ; Morton, Roach, Reid, & Stewart, 2012 ; Waite, McManus, & Shafran, 2012).
Le protocole COMET a été utilisé pour améliorer l'estime de soi dans diverses conditions, notamment la dépression, les troubles alimentaires, les troubles de la personnalité et la schizophrénie. Les essais indiquent des résultats généralement positifs avec des tailles d'effet moyennes à importantes sur les indices d'estime de soi (Korrelboom et al., 2009, 2009, 2012).
Références