Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Document d'information
Exercice
Exercice
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Exercice
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Exercice
Document d'information
Exercice
Exercice
Document d'information
Document d'information
Exercice
Exercice
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Exercice
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Exercice
Document d'information
Document d'information
Exercice
Document d'information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Document d'Information
Exercice
Exercice
Document d'information
Document d'information
Exercice
Exercice
Exercice
Document d'information
Document d'information
Document d'information
Exercice
Exercice
Document d'information
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Exercice
Psychose
La psychose est un ensemble de symptômes comprenant des hallucinations ou des délires. Les hallucinations sont des sensations qui ne sont pas réelles, comme voir ou entendre des choses qui n'existent pas. Le fait d'entendre des voix est un type d'hallucination courant, mais les hallucinations peuvent être ressenties par n'importe lequel de nos sens (vue, son, odorat, toucher ou goût). Les délires sont des croyances fortes qui ne sont pas vraies. Parmi les délires les plus courants, citons la croyance que l'on est suivi ou observé, ou la croyance que l'on a des capacités extraordinaires. Bien que les approches traditionnelles de la psychose aient été biomédicales, l'utilité des approches psychologiques est de plus en plus reconnue. Les approches psychologiques de la psychose peuvent tenter de comprendre comment les facteurs prédisposants peuvent avoir conduit à l'apparition des symptômes, comment les symptômes sont compris et comment les expériences psychotiques se perpétuent.
Qu'est-ce que la psychose ?
Signes et symptômes de la psychose
Quatre symptômes principaux sont associés à un épisode psychotique :
Les hallucinations sont définies comme une perception sensorielle en l'absence d'un stimulus externe ou somatique correspondant. Les hallucinations peuvent survenir avec ou sans prise de conscience de leur nature hallucinatoire, mais l'absence de prise de conscience les définit comme un symptôme psychotique. Les hallucinations auditives, qui consistent à entendre des voix conversant entre elles ou offrant un commentaire en continu, sont des expériences courantes dans la psychose.
Les délires sont de fausses croyances fixes. Elles sont basées sur des déductions erronées concernant la réalité extérieure et sont maintenues fermement malgré des preuves irréfutables du contraire. Les délires vécus par les personnes atteintes de psychose peuvent inclure les éléments suivants :
Modèles psychologiques et théorie de la psychose
Dans le modèle cognitif des symptômes positifs de la psychose de Garety, Kuipers, Fowler, Freeman et Bebbington (2001), les vulnérabilités et les déclencheurs biopsychosociaux se combinent pour produire des expériences anormales (par exemple, entendre une voix, avoir l'impression d'être observé ou suivi). Dans la psychose, ces expériences sont perçues comme externes, ce qui entraîne des symptômes positifs de délire et d'hallucinations. Les perceptions d'un individu sont influencées par ses croyances et expériences antérieures et par des biais cognitifs. Les implications de ce modèle sont que les changements dans les perceptions peuvent être un moyen puissant de réduire la détresse dans la psychose.
De même, l'approche cognitive de Morrison pour comprendre les hallucinations et les délires (2001) soutient que c'est la mauvaise interprétation des expériences cognitives intrusives qui est à l'origine de la détresse et de l'incapacité dans la psychose. Morrison propose que de telles interprétations erronées sont plus susceptibles de se produire chez les personnes qui ont vécu des événements traumatiques, et que si une expérience intrusive a été mal interprétée une fois, il est plus probable qu'elle le soit à nouveau si elle se produit. Morrison propose également que les tentatives contre-productives de contrôle des expériences non désirées sont également impliquées dans le maintien de la psychose.
Approches psychologiques empiriques pour le traitement de la psychose
Thérapie cognitivo-comportementale pour la psychose (TCCp)
La TCCp a été développée à l'origine comme un traitement individuel visant à réduire la détresse associée aux symptômes de la psychose et à améliorer le fonctionnement. Elle a depuis été adaptée en tant que traitement de groupe. Brabban, Byrne, Longden et Morrison (2016) proposent que les éléments clés de la TCCp soient :
Formation individualisée à la résilience (IRT)
L'IRT est une thérapie individuelle conçue pour les personnes ayant connu un début récent de psychose (Penn et al, 2014). Elle s'appuie sur un fond de TCC et se compose de 14 modules couvrant des sujets tels que : l'éducation sur la psychose ; le traitement de l'épisode psychotique ; la planification de la prévention des rechutes ; le développement de la résilience ; la gestion de la détresse ; l'adaptation aux symptômes ; l'amélioration du fonctionnement social ; et la prise en compte de la toxicomanie.
Références